Etre plus efficace au travail : un petit truc tout simple

Sommaire
  1. Etre plus efficace au travail ne dépend pas seulement de ce que vous faites en journée
  2. Plutôt ratée la déconnexion !
  3. C’est insuffisant pour rester en bonne santé et bénéficier de toute l’attention, la concentration et la mémorisation nécessaire pour travailler.
  4. Il faudrait dormir au minimum 8 heures par nuit, que vous soyez « petits » ou « gros » dormeurs.
  5. Près de la moitié ne résiste pas à la tentation d’y répondre !
  6. Pourtant, pour éliminer et se ressourcer, le cerveau a besoin que nous nous mettions complètement au repos.
  7. Le cerveau s’use prématurément !
  8. Le cerveau se nettoie en dormant
  9. Demain, tous « dormeurs sentinelles » ?
  10. Sachez déjà qu’il vous est impossible de vous reposer « vraiment » si vous gardez votre smartphone à côté de vous quand vous vous couchez.
  11. Le cerveau ne résiste pas à la sollicitation numérique
  12. C’est le constat très préoccupant qu’ont fait les chercheurs
  13. Ce sont les mêmes qui ont des « coups de mou » au bureau le lendemain et qui ont du mal à faire face à leur charge de travail.
  14. Vous allez gagner en efficacité le lendemain… Effet garanti !
  15. Apprenez à le faire judicieusement, de façon à ne pas gaspiller son énergie et sa volonté inutilement.
  16. « Parce que la volonté n’est pas une faculté, c’est un muscle, comme ceux des bras et des jambes et plus il travaille, plus il se fatigue, de sorte qu’il lui reste moins de force pour d’autres choses ».

Etre plus efficace au travail ne dépend pas seulement de ce que vous faites en journée

 

Vous êtes de plus en plus nombreux à rester hyper connectés à votre travail.

Beaucoup trop, que ce soit en journée, le soir, mais aussi pendant les vacances.

Selon un sondage récent de la société d’intérim Qapa, 67% des salariés français reconnaissent être hantés par leur travail pendant leurs vacances (73% des femmes, et 61% des hommes).

 

Plutôt ratée la déconnexion !

De nombreuses études affichent des résultats alarmants sur le manque de sommeil en France.

 

 

Selon les résultats de l’enquête MGEN/INSV 2020, les Français dorment 6h41 en semaine et 7h33 le week-end, soit 1h30 de moins qu’il y a 30 ans.

 

C’est insuffisant pour rester en bonne santé et bénéficier de toute l’attention, la concentration et la mémorisation nécessaire pour travailler.

 

Il faudrait dormir au minimum 8 heures par nuit, que vous soyez « petits » ou « gros » dormeurs.

 Et qui est le vilain petit broyeur de vos nuits et de vos vacances ?

 

Ben oui, encore eux : le smartphone ou la tablette !

 

 

La majorité des détenteurs de smartphone sont devenus dépendants de leur usage. En panique totale, si d’aventure ils ne peuvent pas l’utiliser !

Selon la même enquête MGEN/INSV 2020, 45% des adultes consultent un écran le soir au lit, dans un tiers des cas tous les jours ou presque, et durant plus d’1h30 pour ¼ des utilisateurs.

 

16% des Français et 28% des 18-34 ans reconnaissent être réveillés la nuit par la sonnerie du smartphone ou par un SMS.

 

Près de la moitié ne résiste pas à la tentation d’y répondre !

Car en effet, quoi de pire que de ne pas être alertés à toute heure du jour ou de la nuit de la moindre information ? Qu’elle soit professionnelle ou pas d’ailleurs.

Mais c’est en soi une erreur, car soumis à ce besoin, le cerveau reste connecté sans arrêt.

 

Pourtant, pour éliminer et se ressourcer, le cerveau a besoin que nous nous mettions complètement au repos.

Oui mais voilà : cette frénésie d’attention numérique, oblige le cerveau à fonctionner sans arrêt, et il passe alors en mode « dégradé ».

 

Le cerveau s’use prématurément !

Vous pensez continuer à travailler et à être productif juste en restant informé de ce qui se passe en votre absence ?

C’est un piège : vous ne faites ni l’un, ni l’autre. Vous « tournez à vide » et vous vous épuisez.

 Et le lendemain, même si vous pensez avoir bien dormi, vous aurez déjà grignoté le capital énergie nécessaire pour travailler…

 

 

 

Cessez de penser que vous devez rester tout le temps connectés.

Et en plus, cela nuit littéralement à votre survie.

Parce que dormir (vraiment et profondément) est vital.

Ce n’est pas en gardant votre smartphone à portée de main que vous resterez productifs et efficaces.

Au contraire, c’est en vous déconnectant et en dormant que vous gagnerez en concentration et en efficacité.

 

Le cerveau se nettoie en dormant

 

 

Au sens littéral du terme. C’est pendant le sommeil que les déchets causés par l’activité cérébrale vont s’éliminer.

 

Si vous ne dormez pas suffisamment, cette fonction d’élimination des déchets se trouve perturbée, engendrant un accroissement des risques de dégénérescence mentale

 

Parce que le cerveau est une merveilleuse machine, dont il faut prendre soin.

Mais ça c’est pour dans quelques années, quand il sera trop tard pour regretter de n’avoir pas fait ce qu’il faut pour vous prémunir des maladies dégénératives qui altèreront sans nul doute vos vieux jours…

 

Demain, tous « dormeurs sentinelles » ?

 

Sachez déjà qu’il vous est impossible de vous reposer « vraiment » si vous gardez votre smartphone à côté de vous quand vous vous couchez.

Et là, je ne vous parle pas des ondes qui font régulièrement la une de l’actualité…

La recherche montre que si vous gardez votre téléphone proche de vous lorsque vous vous couchez, votre capacité à entrer en phase de sommeil profond (début de période de sommeil) est totalement perturbée.

Le cerveau ne résiste pas à la sollicitation numérique

Notre cerveau est un vrai superman, mais le numérique est sa cryptonite.

En phase de sommeil profond, en principe, l’activité cérébrale se réduit au minimum (c’est un moment où il devient difficile de vous réveiller).

C’est le stade du cycle de sommeil où vous récupérez le plus de la fatigue accumulée.

 

 

Malheureusement, les plus accrocs au smartphone vont sans cesse décaler cette phase : ils vont se mettre en mode « dormeurs sentinelles ».

Le dormeur sentinelle est celui qui réagit au cœur de la nuit aux notifications de son smartphone, même s’il dort.

C’est le constat très préoccupant qu’ont fait les chercheurs

Il faut cependant savoir que l’ensemble des notifications sonores ou visuelles d’un smartphone laissé sur le lit, sous l’oreiller ou sur la table de chevet sont autant d’alertes auquel le cerveau réagit spontanément, sans se soucier de l’heure qu’il est.

Les notifications du smartphone vont alors perturber le rythme du sommeil

« Des flashs lumineux de quelques millisecondes durant la nuit peuvent retarder l’horloge biologique dont le système est si sensible que la lumière agit même si on dort, les yeux fermés », souligne le Claude Gronfier, neurobiologiste et spécialiste des rythmes biologiques.

(source : www.infoprotection.fr/les-francais-risquent-de-devenir-des-dormeurs-sentinelles/).

En 2016, une étude publiée par le cabinet conseil Occurrence, a mis en évidence que près de la moitié des personnes interrogées s’endorment avec leur PC, leur tablette ou leur smartphone connectés.

 

 

Ce sont les mêmes qui ont des « coups de mou » au bureau le lendemain et qui ont du mal à faire face à leur charge de travail.

Si vous faites partie de ces personnes, sachez que rien que sur ce point précis, vous êtes en capacité d’améliorer les choses.

Laissez le numérique au salon avant d’aller vous coucher…

Vous allez gagner en efficacité le lendemain… Effet garanti !

Bon, bref, tout ça pour dire que dormir permet donc de sortir les poubelles neuronales, mais aussi de gagner en concentration, en discernement, et en volonté… Pour le lendemain.

Idéalement, instaurer un couvre-feu numérique au moins 1 heure avant d’aller se coucher, permet de réduire considérablement les risques professionnels induits par la fatigue et le manque de concentration.

Optimisez votre volonté…

Car pour y arriver, il n’y a qu’une solution : s’y mettre !

 

 

 

Apprenez à le faire judicieusement, de façon à ne pas gaspiller son énergie et sa volonté inutilement.

Car, comme le précise Charles Duhigg, journaliste devenu spécialiste des habitudes et de la productivité, dans son livre Le pouvoir des habitudes :

« Parce que la volonté n’est pas une faculté, c’est un muscle, comme ceux des bras et des jambes et plus il travaille, plus il se fatigue, de sorte qu’il lui reste moins de force pour d’autres choses ».

Mais j’ai bien conscience qu’il est plus facile de le dire que de le mettre en application.

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Vous apprenez à vous connaître par coeur et votre vie peut s’en trouver largement améliorée, je vous le garantis 🙂

A bientôt.

Emmanuelle

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